L’Association des victimes de la tortures au Togo appelle à un arbitrage du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) dans la crise qui sécoue le secteur éducatif au Togo. << L’ASVITTO en appelle à l’arbitrage du PNUD et l’OIT dans ce conflit qui porte de grave préjudices à l’école togolaise >>, a-t-elle tweeté.
En effet, à travers une serie de tweets, l’ASVITTO se réfère à l’article 324 du code du travail en vigueur, estime que ledit article n’a pas droit de cité dans un État qui se veut démocratique. Cet article selon l’ASVITTO est liberticide.
Pour Kao Atcholi, président de l’ASVITTO, l’intervention des ces ogarnismes cités plus haut demeure la voie pour resoudre ce bras de fer qui oppose la FESEN et son ministre de tutelle, le ministre qui a sanctionné plus de 1200 directeurs d’écoles primaires et préscolaires suite à la grève des 03 et 04 novembre 2021. Pas plus tard qu’hier, la FESEN à travers des correspondances au ministre de l’enseignement primaire et celui de la fonction publique annonce de nouvelles grèves les 10 et 11 novembre pour réclamer l’octroit de la prime de gratification et de l’annulation de la décision du ministre au sujet de la rétrogradation de plus de 1200 directeurs d’écoles.